Somnolence au soleil à l'heure de l'apéro
« Chéri, qu’est-ce que tu fais ? »
Je suis allongé sur mon bain de soleil, les yeux clos. Je somnole. Le soleil de midi chauffe ma peau. Dans un demi-sommeil, je fais un rêve cochon… Très cochon...
Elle était au milieu d’un groupe de jeunes, mais je n’ai remarqué qu’elle. Ils barbotaient, chahutaient dans l’eau. Certains se baignaient tout simplement pour humidifier une peau maltraitée par les rayons du soleil. Il faisait si chaud.
Moi, je ne remarquais qu’elle.
Elle est sortie de l’eau et a progressé dans ma direction pour se poser derrière moi. Quelle beauté avec sa démarche chaloupée. Oui, quel port ! Cela mettait en valeur ses courbes prometteuses. Elle s’est installée tout au bord des dunes, contre la mince palissade séparant l'espace protégé de la nature sauvage. Je la regardais avec gourmandise, je l’avoue.
Peu de temps après, un jeune est venu la rejoindre. Il la titillait, lui reniflait la face et il a semblé lui susurrer un mot à l’oreille : allaient-ils s’évader dans les dunes ? Je surveillais du coin de l’œil. J’avais tellement peur de la perdre, elle qui me laissait espérer tant de délices.
Mais non, il s’allongea à ses côtés et j’ai pu continuer à les regarder. Surtout elle avec son lourd corps partiellement couvert de sable, les mamelles généreuses offertes aux rayons du soleil. Et là, j’ai senti le désir monter en moi...
Je me suis éveillé sur cette envie : « Chérie, il reste du saucisson ? »
Vraiment cochon comme rêve, n'est-ce-pas ?
Enfin, vous, vous ne pouvez peut-être pas bien vous rendre compte : il est vrai que moi, j'avais les images en tête.
Attendez, je vais réessayer de vous le raconter à nouveau avec les illustrations :
Je suis allongé sur mon bain de soleil, les yeux clos. Je somnole. Le soleil de midi chauffe ma peau. Dans un demi-sommeil, je fais un rêve cochon… Très cochon.
Elle était au milieu d’un groupe de jeunes, mais je n’ai remarqué qu’elle. Ils barbotaient, chahutaient dans l’eau. Certains se baignaient tout simplement pour humidifier une peau maltraitée par les rayons du soleil. Il faisait si chaud.
Moi, je ne remarquais qu’elle.
Elle est sortie de l’eau et a progressé dans ma direction pour se poser derrière moi. Quelle beauté avec sa démarche chaloupée. Oui, quel port ! [Ah, je vois que j'ai fait une faute : quel porc !] Cela mettait en valeur ses courbes prometteuses.
Elle s’est installée tout au bord des dunes, contre la mince palissade séparant l'espace protégé de la nature sauvage. Je la regardais avec gourmandise, je l’avoue.
Peu de temps après, un jeune est venu la rejoindre. Il la titillait, lui reniflait la face et il a semblé lui susurrer un mot à l’oreille : allaient-ils s’évader dans les dunes ? Je surveillais du coin de l’œil. J’avais tellement peur de la perdre, elle qui me laissait espérer tant de délices.
Mais non, il s’allongea à ses côtés et j’ai pu continuer à les regarder. Surtout elle avec son lourd corps partiellement couvert de sable, les mamelles généreuses offertes aux rayons du soleil.
Et là, j’ai senti le désir monter en moi...
Vous visualisez mieux, ainsi ?
" Alors, il en reste ou pas du saucisson, chérie ? "